Pourquoi les appels de formation se font avec Sandrine ?

C’est une question qu’on me pose régulièrement :

 “Pourquoi ce n’est pas toi, Enora, qui fais les appels pour la formation ?”

Et c’est vrai que, quand on découvre l’Eipsho, on peut s’attendre à échanger directement avec moi.
Alors je me suis dit que j’allais vous raconter un peu les coulisses, simplement.

Une école qui grandit, un projet qui s’ancre

L’Eipsho, c’est un projet que je porte depuis le tout début — avec conviction, avec cœur et avec sens.

J’ai créé cette école pour transmettre comme j’aurais aimé recevoir : avec une approche qui relie la rigueur clinique, le traitement du trauma, et la compréhension profonde du vécu humain.

Mais une école, ce n’est pas seulement des cours.

C’est une structure complète : des ressources, un suivi pédagogique, des outils, des podcasts, de la communication, de l’administratif, des appels, et beaucoup (beaucoup) d’organisation.

Et comme je souhaite garder mon énergie pour le contenu de la formation, la qualité des enseignements et le lien avec les étudiant·es, j’ai choisi de m’entourer

🤍 Sandrine, un soutien précieux

Sandrine, c’est la personne qui accompagne celles et ceux qui souhaitent en savoir plus sur la formation.
Elle répond aux questions, explique le fonctionnement, les modalités, les dates, et surtout… elle prend le temps d’écouter.
Elle est là comme une présence relais, quelqu’un qui fait le lien entre vous et moi.
Elle connaît la formation dans ses moindres détails, elle partage les valeurs de l’école, et elle a cette douceur rassurante qui permet de clarifier les choses sereinement.
Certaines personnes arrivent avec mille interrogations, parfois même une petite appréhension.
Et Sandrine, elle sait créer cet espace calme où tout peut se poser.

🌱 Une école à taille humaine, avec plusieurs visages

Choisir une formation comme celle de l’Eipsho, c’est avant tout rejoindre une équipe.
Si vous avez un appel avec Sandrine, un échange administratif avec Mélanie, ou un module animé par un·e intervenant·e extérieur·e, tout cela fait partie de l’école.

Je reste bien sûr présente au cœur du parcours — dans les cours, les suivis, les supervisions, et dans la vision globale.
Mais je crois profondément qu’un projet solide se construit à plusieurs mains.


🌞 Travailler avec d’autres, c’est faire grandir le projet

Même si j’ai fondé l’Eipsho, je n’ai jamais voulu la porter seule.
J’aime m’entourer de personnes de confiance, qui partagent les mêmes valeurs de respect, d’ouverture et de conscience.

Et mon rêve, à terme, c’est que l’équipe continue de s’agrandir :
que de nouveaux intervenants nous rejoignent,
que je puisse déléguer davantage la communication et la création de contenu,
et que je garde l’espace pour ce que j’aime le plus — enseigner, transmettre, et faire vivre cette approche auprès des professionnel·les.

 

💫 En résumé

Si vous avez un appel avec Sandrine, sachez que c’est normal — et que c’est une belle façon de commencer ce chemin.
Elle fait partie intégrante de l’Eipsho, tout comme Mélanie et les intervenant·es.

Et grâce à elles, je peux continuer à faire ce que je fais de mieux : former, encadrer, et faire grandir cette école avec cohérence, exigence et humanité.

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